L’engagement dans l’économie sociale et solidaire
Nous avons fait le choix d’inscrire notre action dans le champ de l’économie sociale et solidaire. Cette volonté se traduit dans nos statuts par le respect d’un cahier des charges exigeant, avec des engagements forts notamment vis-à-vis de nos salariés.
La politique sociale est l’un des 3 piliers de la notation extra-financière ESG, auditée et délivrée par un cabinet d’experts indépendants, et fondée sur des éléments de preuve. Obtenir cette notation est l’un de nos objectifs à court terme.
Organiser le dialogue social
Toute entreprise de l’économie sociale et solidaire (ESS) est engagée dans la transition sociale et environnementale. À ce titre, elle doit créer une réserve financière environnementale dans son bilan et adopter un système de gestion démocratique et participatif.
Ecofield a donc mis en place un Comité de direction élargi, composé des dirigeants et de membres du personnel représentatifs des différents métiers (administratif et exploitation). Les personnes -cadres et non cadres- de ce comité décident de manière concertée des investissements, du choix des matériels et des modes de fonctionnement.
Nos actions en faveur du bien-être des salariés
L’enjeu majeur de nos entreprises réside dans la capacité à trouver les bons profils et à les fidéliser. Chez Ecofield, nous accordons une attention particulière à l’intégration et à la place de chacun afin de favoriser son épanouissement au travail.
En dehors d’une rémunération attractive avec des parts variables (comme par exemple une prime de maintenance pour les chauffeurs qui entretiennent bien le matériel, et des primes de vacances), nous positionnons des rendez-vous réguliers d’échanges sur l’activité, les difficultés, les idées d’améliorations…
Chaque personnel d’exploitation est doté, lors de son arrivée, d’un trousseau professionnel complet : tenue aux couleurs d’Ecofield et EPI.
Nous travaillons également sur un plan de formation pour augmenter les compétences, favoriser la polyvalence et l’évolution en interne.
Nous organiserons aussi des journées « Vie ma Vie » pour que chacun puisse découvrir le métier de l’autre, partager son quotidien et mieux comprendre les enjeux de son poste et ses contraintes.
Nos projets pour aller encore plus loin :
- Créer un Comité éthique et sanitaire, piloté par le Dr Lepault. Ce médecin bordelais sera entouré de spécialistes des problématiques éthiques et sanitaires dans le milieu professionnel. Ensemble, ils seront force de proposition pour faire progresser les conditions de travail. Nous souhaitons également évaluer l’impact de l’entreprise sur la santé mentale des salariés.
- Installer sur nos plateformes des capteurs de perturbateurs endocriniens. Ils mesureront l’efficacité de nos dispositifs pour améliorer la qualité de l’air sur le site : matériel avec cabine pressurisée et haut niveau de filtrage de l’air.
- Œuvrer pour plus de diversité : féminiser la profession de chauffeur, accueillir des personnes en difficulté, éloignées de l’emploi, en situation de handicap…
- Enfin, nous envisageons d’ouvrir nos portes à des pensionnaires de l’EPIDE de Bordeaux. Ces jeunes, entre 17 et 25 ans, ont besoin d’être accompagnés vers l’emploi ou vers une formation. Notre projet de partenariat avec l’EPIDE est de faire découvrir nos métiers à ces jeunes, de former ceux qui seront volontaires ou de monter avec eux une opération solidaire : trier certains déchets revalorisables, les vendre et que le produit de cette vente soit reversé à l’EPIDE.